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ZywOo, son histoire en Major autour de Berlin, Stockholm et Paris

Le mercredi 2 août 2023, à l'occasion du média day des IEM Cologne, nous avons retrouvé Mathieu "ZywOo" Herbaut dans le cadre d'une interview destinée à raconter son histoire en Major autour de trois d'entre eux : Berlin, Stockholm et Paris.

apEX, son histoire en Major autour de Cluj-Napoca, Anvers et Paris

En septembre 2023, nous voilà deux à traverser la France entre le Sud-Ouest et l'Alsace en effectuant un détour andorran pour rencontrer Dan "apEX" Madesclaire, chez lui, dans le cadre d'une interview destinée à raconter son histoire en Major autour de trois d'entre eux : Cluj-Napoca, Anvers et Paris.

Et la plus belle histoire de CS:GO est...

[RÉSULTATS] La plus belle histoire de CS:GO, à vos yeux, est celle de Zeus au PGL Major Krakow, qui recueille 31,58 % des suffrages ! Il devance dupreeh et son papa à 20 %, et l'épopée de NiP à Cologne 2014 à 18,95 %.

Le reste du classement : 7,37 % pour Hiko et s1mple, 7,37 % pour la venue en aide de la communauté aux Brésiliens, 4,21 % pour rain et karrigan, 4,21 % pour ropz, 4,21 % pour une autre histoire, 2,11 % pour Quantum Bellator Fire, et un tout rond 0 % pour Skadoodle, dont l'histoire ne vous aura pas bien emballé.


Après les exploits, les belles histoires. Non pas que les deux soient antinomiques, mais ici, on ne va pas uniquement parler de performances incroyables. Une belle histoire, c'est un peu comme si un scénariste écrivait la réalité afin que tout se déroule selon les codes des films qui nous tirent, à la fin, une larme ou un sourire de satisfaction. Pour que l'abnégation soit récompensée, que le courage soit valorisé, que l'outsider triomphe, que les revanches s'accomplissent.

CS:GO regorge de ce type de récits, depuis l'épopée fabuleuse de Virtus.pro jusqu'à la carrière cabossée de cadiaN, en passant par le discours anti-guerre de s1mple aux IEM Katowice 2022, prononcé alors que NAVI s'apprêtait à jouer sa demi-finale. Neuf sont présentés ci-dessous. À vous de voter pour le plus beau en fin d'article !

Et le plus grand exploit de l'histoire de CS:GO est...

[RÉSULTATS] Les votes sont clos, et c'est les NiP de l'époque et leur 87-0 qui remportent les suffrages, avec 31,45 % des voix ! Ils devancent les 3 Majors consécutifs d'Astralis, 25 % des votes, et les 5 victoires de dupreeh en Major, 22,98 %.

Le reste du classement : 12,1 % pour ZywOo et ses 2 titres consécutifs de meilleur joueur du monde, 3,63 % pour la régularité d'apEX, 2,02 % pour les 3 titres de meilleur joueur du monde de s1mple, 1,61 % pour les 2 Intel Grand Slam de Twistzz, et 1,21 % qui ont préféré un autre exploit. Lequel, mystère !


Après onze années de bons et loyaux services, la version Global Offensive de Counter-Strike s'apprête à laisser place à Countrer-Strike 2 durant l'été. Onze années durant lesquelles la scène compétitive est passée dans une autre dimension en termes d'infrastructures, de finances, de performances et donc de spectacle. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette décennie a filé à une vitesse folle, si bien que lorsque l'on regarde des archives des premiers balbultiements de CS:GO, on a l'impression d'être ramené au néolithique.

ESWC 2006 : La destinée d'un pionnier (3/3)

Partie 1 : Et Bercy découvrit l'esport

Partie 2 : BTB, WebOne et atLanteam à l'assaut du monde

Partie 3 : La destinée d'un pionnier

 

Dans quelques semaines, le palais omnisports de Paris-Bercy accueillera le 19ème Major de l'histoire de CS:GO, organisé par BLAST. Et tout le monde trouvera ça normal. Parce que l'esport est plus visible que jamais, qu'il a déjà investi des dizaines d'arènes prestigieuses à travers la planète, et que même Bercy commence à être habitué aux fans de jeux vidéo dans ses gradins.

Il y a 17 ans, rien de tout ça n'était vrai. Les jeux vidéo n'étaient pas encore pleinement démocratisés et l'esport faisait ses gammes. Ça n'a pas suffi à effrayer l'ESWC. Pour son édition 2006, le plus célèbre des tournois tricolores se paie Bercy et fait entrer Counter-Strike, Quake et autres Gran Turismo dans un lieu unique, qui n'avait jusque-là jamais entendu parler de sport électronique.

Derrière ce pari un peu fou se trouve une entreprise, Games-Services, maison-mère de l'ESWC, embarquée cette année-là dans son aventure la plus ambitieuse. Se cachent aussi des joueurs, joueuses, admins et autres journalistes qui se souviennent tous de cette édition en avance sur son temps, marquée par les "BTB !" qui descendent des gradins, les pom-pom girls, les médias généralistes intrigués par tous ces écrans et les couloirs labyrinthiques d'une salle bien trop grande pour l'esport de l'époque.

Ils racontent leur ESWC 2006, celui où Bercy découvrit cet univers.

ESWC 2006 : Et Bercy découvrit l'esport (1/3)

Partie 1 : Et Bercy découvrit l'esport

Partie 2 : BTB, WebOne et atLanteam à l'assaut du monde

Partie 3 : La destinée d'un pionnier

 

Dans quelques semaines, le palais omnisports de Paris-Bercy accueillera le 19ème Major de l'histoire de CS:GO, organisé par BLAST. Et tout le monde trouvera ça normal. Parce que l'esport est plus visible que jamais, qu'il a déjà investi des dizaines d'arènes prestigieuses à travers la planète, et que même Bercy commence à être habitué aux fans de jeux vidéo dans ses gradins.

Il y a 17 ans, rien de tout ça n'était vrai. Les jeux vidéo n'étaient pas encore pleinement démocratisés et l'esport faisait ses gammes. Ça n'a pas suffi à effrayer l'ESWC. Pour son édition 2006, le plus célèbre des tournois tricolores se paie Bercy et fait entrer Counter-Strike, Quake et autres Gran Turismo dans un lieu unique, qui n'avait jusque-là jamais entendu parler de sport électronique.

Derrière ce pari un peu fou se trouve une entreprise, Games-Services, maison-mère de l'ESWC, embarquée cette année-là dans son aventure la plus ambitieuse. Se cachent aussi des joueurs, joueuses, admins et autres journalistes qui se souviennent tous de cette édition en avance sur son temps, marquée par les "BTB !" qui descendent des gradins, les pom-pom girls, les médias généralistes intrigués par tous ces écrans et les couloirs labyrinthiques d'une salle bien trop grande pour l'esport de l'époque.

Ils racontent leur ESWC 2006, celui où Bercy découvrit cet univers.

Ces stand-in improbables

Un visa refusé au dernier moment, un avion raté, un rhume un peu trop intense. Mais maintenant qu'on est là, on ne va pas déclarer forfait, ce serait trop bête. Vite, un stand-in. Quelqu'un de disponible, quelqu'un du coin, qu'importe. Il ne parle pas notre langue ? Pas grave. Il n'a pas lancé le jeu depuis des années ? C'est pas important. Il ne sait même pas vraiment jouer à Counter-Strike ? Tant pis. Qu'il vienne, il fera le nombre.

10 articles pour les 10 ans de CS:GO

Counter-Strike: Global Offensive a 10 ans ! Le 21 août 2012 sortait le quatrième opus du FPS de Valve, qui allait parvenir à unifier deux communautés jusque-là divisées entre Counter-Strike 1.6 et Counter-Strike: Source, devenir l'un des jeux PC les plus joués du monde et s'imposer comme un titre majeur de l'esport. Que de chemin parcouru depuis une décennie !

10 ans de CS:GO : 10 fragmovies

C'est l'un des gros points mitigés de l'évolution de Counter-Strike : les fragmovies ont pris du plomb dans l'aile. Dans un monde d'instantanéité, le partage de clips Twitch sur les réseaux sociaux et leurs compilations sur YouTube ont peu à peu ruiné les efforts de moviemakers investissant des centaines d'heures dans une vidéo, dans un but autant artistique qu'historique.

10 ans de CS:GO : 10 line-up étrangères

Qu'elles gagnent et fassent se lever les foules ou perdent et créent des débats sans fin sur les forums, les équipes sont la raison d'être de la scène compétitive de CS:GO. Qui sera la meilleure ? Sur ce tournoi, et sur le plus long terme ? À ce petit jeu, certaines ont souvent levé le doigt et marqué les esprits.

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